• Parc de la Rivère Bleue : première     Hier, 29 février, départ pour le parc de la Rivière Bleue.

      Situé à 60 kilomètres de Nouméa, le parc provincial de la Rivière Bleue couvre une superficie de 9045 hectares. Ce parc occupe une région en grande partie sauvage et grandiose où l'on cotoie de très près la nature. Le lac de retenue de Yaté et ses abords, les forêts de chênes-gomme, de Kaoris, de houps et d'araucarias, les nombreuses pistes et sentiers, les vestiges du passé minier et forestier, les rivières aux couleurs extraordinaires, vous l'aurez compris, ne pouvaient que nous attirer et nous plaire.

      Nous avons pris un abonnement, nous y retournerons plusieurs fois car le parc est immense et c'est vraiment le paradis des randonneurs.

    ALERTE ARACHNOPHOBES !

      Sur le sentier de promenade vers le "houp géant", nous avons rencontré deux demoiselles à ne pas provoquer. La première, celle au gros abdomen, avait au moins 7 centimètres d'envergure !

      Message pour Christel et Sophie : vous pouvez zapper les photos des 2 "Zénormes bêtes".

    20120301 Parc de la Rivère Bleue - première


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  • Hienghène   Quatrième étape : Côte nord-est et Hienghène.

      La route qui mène vers Hienghène à l'est de la Calédonie est magnifique. 60 kilomètres entre montagne et lagon ponctués de cascades. Les cases canaques sont blotties contre la montagne au milieu d'une végétation exhubérante. Ici, tout le monde se dit bonjour. Malheureusement pas de photos de cette partie car le mauvais temps était du voyage.

      Hienghène, splendide et simple. Un petit village face à la "poule" et proche des falaises noires de lindéralique. Nous avons pu déguster un bougnat marmite chez le chef de tribu de Lindéralique. Nous reparlerons du bougnat plus tard.

      Avant d'arriver à Hienghène, nous avons emprunté le bac de la Ouaïème qui était bien chargé !

    20120301 Hienghène


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  • Poingam    La troisième étape nous a conduit à Poingam qui est situé tout au nord de la Grande Terre. C'est loin, mais c'est beau ! comme disait Chirac. Le climat est plus sec dans ce coin de Calédonie et les paysages ne sont pas les mêmes avec beaucoup moins de végétation luxuriante. C'est le pays des eucalyptus et des niaoulis. Le niaoulis est un arbre très résistant aussi appelé noir et blanc. Ce nom vient du fait que lorsqu'il y a un incendie, le tronc noirci et le reste demeure blanc. Il est exploité pour fabriquer de huiles essentielles aux vertus antivirale, antibactérienne, antiinfectieuse et plein d'autres bonnes choses pour notre précieuse santé.

      Joss en a acheté !!!

      Dernière chose, le gite de Poingam où nous avons campé est un endroit magique !

    20120229 Poingam


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  • Tribu d'Atéou    Suite de notre tour de la Calédonie par la tribu d'Atéou. Comme je l'ai peut-être déjà dit, une tribu est un rassemblement de clans , eux-mêmes constitués de familles. En fait une tribu est un village.. La tribu d'Atéou est un village de 150 âmes niché à 500 mètres d'altitude, dans la chaîne centrale à 20 kilomètres de Koné (pour vous situer). C'est un trou perdu au bout de nulle part. La population est exclusivement Kanak.

      Nous étions logés "chez l'habitant", habitant qui a tout compris car le rapport qualité/prix des prestations est assez élevé, mais ce n'était pas là l'essentiel. Nous avons rencontré des gens ouverts et nous avons appris pas mal de choses sur les coutumes Kanak. Malheureusement, nous avons eu un peu de pluie donc les photos ne sont pas "extra".

    20120229 Tribu d'Atéou


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  • Halte à Bourail   Première étape de notre tour de calédonie, Bourail est situé au centre ouest. C'est un pays de stockmen, terre d'élevage extensif de bovins. Cela veut dire que les bêtes sont quasiment en liberté et les stockmen les dirigent à cheval comme au Farwest américain. C'est aussi une raison de l'excellence de la viande locale.

      C'est aussi une région où les gens sont passionnés de chevaux et j'en connais une ou deux qui seront très intéressées.

      Bourail, c'est aussi un bord de mer exceptionnel avec le "Bonhomme" de Bourail, la baie des Tortues et la plage de la Roche Percée, lieu de ponte des tortues "grosses têtes". Nous n'avons pas vu de tortues mais les paysages ont compensé cette absence.

      Ceux qui connaissent l'endroit qu'ils ont découvert il y a 16 ans, remarqueront que l'arche naturelle qui était devant le "bonhomme" s'est effondrée.

    20120228 Halte à Bourail


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